samedi, janvier 14, 2006

lenine

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Ah quand l'art de vivre rejoint l'art tout court! J'aime personnellement beaucoup les explorations de toilettes, les suites de tartes, saisons par saisons.
Regarder son nombril devient toute une histoire, on remarque qu'il change de couleur chaque jour. La banalité deviendrait singularité?
Une photo des chaises de la salle 26 m'a presque arraché une larme. la photo paraît comme un instant oublié, un regard sur l'exclusion de ces pauvres chaises. Elle ne sont pas éternelles mais tu les as éternisées.
Lenine ne dit rien, il fait partie du décors maintenant.

3:32 PM  

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